

















































Vendredi soir, nous rentrons de notre tour de la grande terre, sous la pluie (pr changer) et nous retrouvons nos copains brestois qui étaient à Ouvéa, qui n’avait pas connut une pluie pareille depuis un petit moment (l’île bien sûr, pas les brestois, parce qu’il ne pleut jamais à Brest pr les médisants qui pourraient avoir un soupçon de début de sourire). Pour autant, ils ont connu une période de beau qui leur a permis de rougir à max, au pt que certain ont des œdèmes sur les pieds tellement ils ont pris.
Ils n’ont toujours pas reçu leurs bagages qui maintenant sont, la compagnie aérienne en est quasiment certaine, quelque part entre Londres et Nouméa (à croire qu’elle bosse avec la poste).
Bon le moral est pas au plus bas et l’on en rigole un peu mais faudrait pas que ça continu….
Pr remonter le moral on se fait un petit resto qui dérive gentiment vers un bar qui continu vers une boite (sauf les gens sérieux comme saumon, Greg et ma pomme (promis maman)).
Les insouciants qui vont en boîte (la boîte est le corto maltese déjà évoqué ds ce blog qui à la particularité d’être sur pilotis au-dessus de la mer ce qui nous change du « Fucking blue boy » de Vierzon). Donc les mécréants, on juste le tps de commander un verre et fort heureusement de le boire qd soudain les hommes en bleu font une descente ds ce lieu de débauche afin d’appréhender des malandrins vendeur de marie Jeanne, tout ça ds une ambiance bon enfant pr ceux qui se font pas embarquer (et qui ont réussi de finir leurs verres).
Nos chats noirs brestois évitent le panier à salade et Loïc réussit à se faire fouiller plusieurs fois.
Les résultats de cette petite affaire est que la scoumoune commence à faire sourire nos amis et Flo se met en devoir de me raconter ça en rentrant à la maison à une heure où certain s’en vont bosser (j’étais hyper réceptif).
Le lendemain, les brestois dévalisent quicksilver avec l’avoir verser par la compagnie aérienne (qui sous traite avec la poste), puis départ sur le catamaran de 13m avec 4 cabine double (avec chacun sa petite salle de bain qui va bien) avec Denis du club de plongée Absyss et Stéphane le proprio et skippeur du cata.
Denis a une formation de cuisinier à la base, autant vous dire qu’on a mangé comme des rois, des petits fondants au chocolat notamment qui aurait mis à mal mon beauf Quinquin.
Stéphane qd à lui est le frère d’un pote que ptit Nico, Yo et moi-même avons rencontré ds un surftrip au Maroc, c’est le frère de Nico de Casa (le monde est décidément tt petit). Il s’avère que ce mec c’est tt faire skippeur, surfeur, kite surfeur, mono de plongée (plus de 6000 plongées), parapente et un gigot d’agneau à la Marocaine à damner.
En bref ces 2 mecs sont de l’or en barre et cette croisière ressemble fort à ma vision du paradis avec 2 plongées par jour ds des spots dingues avec des bans de barracudas, de requins gris des thons dent de chient dont un qui approchait les 3 m (le genre de petite bestiole qui peut manger les petits requins gris), des gorgones géantes (à croire qu’il y a un mec qui les cultive), un requin soyeux de 3m (que j’ai pas vue, j’avais une otite et j’ai loupé 2 plongée b….. de m….)
En plus les zones de plongées sont au niveau des passes ou potentiellement il y a des vagues mais la y’avait que dalle, je me suis qd même trempé avec ma planche (que j’avais emmené au cas où) histoire de dire qu’elle avait connu la nouvelle Calédonie.
Stéphane m’a montré les photos qd les spots fonctionnent et pr les surfeurs intéressés je suis partant parce qu’elles sont mortelles.
Le retour à Nouméa a été plus que difficile, on a tous eut la sensation de se retrouver minot et de quitter une colonie de vacance où tu ne voulais pas partir (madeleine de Proust revival).